L'Arabie saoudite fournit 400 millions de dollars d'aide à l'Ukraine

L’Arabie saoudite fournit 400 millions de dollars d’aide à l’Ukraine

Cela fait tout juste un an que l’invasion russe et les gestes de nombreux pays du monde avec le peuple ukrainien ne cessent de se produire. Le dernier d’entre eux a été l’Arabie saoudite, qui « dans le cadre de l’engagement et de l’aide que la communauté internationale apporte à l’Ukraine », a signé un accord et un protocole d’accord qui totalisent une aide de 400 millions de dollars (environ 377 millions d’euros) pour ce pays.

Depuis le pays du Golfe, ils ont souligné que cette aide montre « une fois de plus» votre volonté d’aider le gouvernement et le peuple ukrainiens à relever les défis sociaux et économiques vécue par le pays, en plus de contribuer à atténuer l’impact humanitaire du conflit.

D’une part, l’accord comprend un programme conjoint de coopération visant à fournir aide humanitaire à l’Ukraine d’une valeur de 100 millions de dollars. D’autre part, le protocole d’accord comprend la financement de dérivés pétroliers pour 300 millions d’euros sous la forme d’une subvention du gouvernement du Royaume d’Arabie saoudite, une mesure qui est acheminée par l’intermédiaire du Fonds saoudien pour le développement de l’Ukraine.

La signature des deux initiatives a eu lieu dimanche dernier lors d’une visite officielle du ministre des Affaires étrangères du Royaume d’Arabie saoudite, le prince Faisal Bin Farhan Al Saud, à Kiev., où il a rencontré le président ukrainien Volodymyr Zelensky. En plus de noter qu’il espère que cela « contribue à alléger les souffrances des Ukrainiens pendant cette crise humanitaire », le ministre saoudien s’est prononcé en faveur de la fin de la guerre sous l’égide des Nations unies.

Selon le prince Faisal Bin Farhan Al Saud, « le Royaume d’Arabie saoudite souhaite faire tout son possible pour réduire la gravité des hostilités. Toute guerre se termine par le dialogue et la table des négociations. Mais bien-sûr, cela doit être fait sous les auspices des Nations Unies et dans le respect du droit international.

A lire également