Boric défend l'ambassadeur du Chili à Madrid et défend que Zapatero a une opinion "irréprochable" à son sujet

Boric défend l’ambassadeur du Chili à Madrid et défend que Zapatero a une opinion « irréprochable » à son sujet

Le président du Chili, Gabriel Boric, a défendu ce lundi que, bien que la nomination de l’ambassadeur en Espagne, Javier Velasco, ait été « politique », elle est basée sur ses compétences professionnelles. « Il n’est pas près d’être mon ami », s’est-il défendu après les dernières polémiques liées à Velasco.

Velasco a été critiqué par l’opposition à la fois pour ses déclarations sur les anciens gouvernements et pour ses publications sur les réseaux sociaux, bien que Boric ait toujours défendu sa qualité de plus haut représentant diplomatique du Chili en Espagne. Ces derniers mois, il a subi une polémique pour avoir partagé des images se caressant les pieds à l’arrière d’une voiture ou pour certaines images dans des restaurants.

« Je ne connais pas les idées qui seront transmises concernant les amitiés intimes ou non, mais il n’est pas là pour cette raison, il est là pour ses compétences professionnelles », a déclaré Boric de Velasco, dans une interview à TVN dans laquelle il mis au défi de poser des questions sur l’ambassadeur auprès de l’ancien Premier ministre José Luis Rodríguez Zapatero ou sur des membres du Congrès qui auraient une opinion « irréprochable » de lui.

Boric, qui a souligné que l’Espagne « est un pays particulièrement important » pour son gouvernement, a défendu que « tout au long de l’histoire des relations internationales » les ambassades ont été combinées avec des fonctionnaires de carrière avec d’autres « politiques », comme ce serait le cas du Légation madrilène.

A lire également